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Club taurin de Paris |
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Lire le blog de Jean Michel Mariou sur signes du toro
Réunion du 14 janvier 2009 S’il y a aujourd’hui des Français toreros qui ne sont plus des « toreros français » mais des toreros tout courts, c’est parce qu’il y eut Christian Montcouquiol Nimeño II. Et s’il y eut Christian, c’est parce qu’il y eut Alain. Il y a des histoires d’amour qui sont aussi des dettes mutuelles. Celle des frères Montcouquiol est de celles-là. Elle nous a donné deux matadors de toros, dont une figura, fauchée par un Miura le 10 septembre 1989. Elle nous donne un écrivain, qui publie à présent son deuxième livre, Le sens de la marche. Après Nimeño I, après Nimeño II, après Recouvre-le de lumières, c’est la suite de l’histoire d’Alain et de Christian, une histoire d’amour qui ne finira jamais. « Qu’importe si, dans les textes qui s’imposent à moi, je parle encore de lui, ou si, parlant de lui, je parle encore de moi. Qu’importe si je me répète, si je redis encore jusqu’au ressassement qu’il me manque et que tout me rappelle son absence, je n’ai rien d’autre de plus urgent à dire. Je ne souhaite plus lutter contre cette obsession, même si elle ressemble à un désordre de plus, car rien ne m’indique sérieusement qu’il ne s’agit pas là d’un autre ordre, qui me dépasse, que je ne comprends pas mais que je dois regarder bien en face puisqu’il s’agit là de ce qui me reste de vie ». Pour cette première réunion de l’année 2009, nous sommes heureux de recevoir le mercredi 14 janvier 2009 Participation par personne (incluant dîner avec vin à volonté) :
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