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Le club à Bilbao



ASTE NAGUSIA

 

La féria de Bilbao en août est une des férias de prédilection du CTP. Son président, Jean-Pierre Hédoin, a été invité à faire la présentation de l'élevage lors de l'apartado (Torrestrella, 23 août 2001), Araceli Guillaume a fait aussi cet exercice. Lors des tertulias de l'hôtel Indauxu, nombres de membres du CTP sont invité à la table des participants, outre les deux sus-nommés, Francis Wolff et Patrick Guillaume. Le CTP a reçu un prix bilbaïnien, le prix Clarín Taurino 2003. A l'issue de chaque course, une tertulia a lieu sous les arcades devant la porte du Tendido 5. A maintes reprises, des réunions informelles ont eu lieu, réunissant un nombre parfois important de membres du club, souvent dans l'excellent restaurant Euskalduna ...

Jean Pierre Hédoin, Président du Club a commenté la victorinade du samedi pour la télévision locale

Cette année, le hasard a voulu qu'au même étage de l'hôtel Zabalburu, où se réunit l'aficion française, la famille Wolff avait une grande salle de séjour avec des tréteaux permettant d'installer une table (avec un appoint de chaises prêtées par Joël Bartollotti, nouveau responsable de la revue "Toros", de Nîmes) et Ph. Paschel qui lui avait une cuisine en état de fonctionner avec un réfrigérateur. De cette état de chose favorable est née l'idée de faire une réunion du club, le mercredi 24 août, sur le modèle des surprises-parties de notre jeunesse où chacun était chargé d'apporter, qui les entrées, qui le gazpacho, qui le jambon, qui les fromages, le vin ou les desserts.

Quatorze membres répondirent à l'appel. Jean-Pierre Hédoin, son président en tête, Marie-Luce Baccelieri, l'ancien président André, Ursula et Béatrice Berthon, Francis, Françoise et Fanny Wolff, Emmanuel et Martine Burlet, François Parion, Philippe Paschel, Jean-Luc Ponnette, Thierry Vignal. D'autres ne purent venir, Patrick et Araceli Guillaume retenus par leurs occupations famliales, Michel et Anne-Marie Lambert qui devaient rentrer dans le lointain Biarritz, Chantal de Blignières et son amie Brigitte qui n'arriveraient que le lendemain
Après un repas aux conversations animées sur les Corridas Générales -c'est le nom de la féria de Bilbao-, plusieurs tours de table permis à chacun d'évoquer son meilleur souvenir, puis son plus mauvais et son meilleur souvenir récent. Pour clôturer, dans l'apothéose des nouvelles techniques maintenant en usage au CTP, nous pûmes voir ou revoir les faenas de Morante de la Puebla à Jérez et Grenade sur l'écran de l'ordinateur portable de Francis.



C'était, depuis longtemps, la première soirée du CTP hors les murs.


Philippe Paschel